La bibliothécaire vient se taper le docteur

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Chaine : Gonzo !

Vous vous souvenez de cette blondasse à gros seins? Elle fait partie du personnel de la bibliothèque et elle avait fait le pari fou avec ses copines de se taper un toubib. La voilà justement qui se pointe à l’hôpital et elle le retrouve dans une chambre. Mais est ce vraiment le docteur qu’elle cherchait? Car il n’a pas du tout l’attirail du médecin de garde… Blouse rose pâle, pantalon vert et tongues…. Cet accoutrement n’est pas digne d’un médecin de renom… Enfin, que ce soit lui ou pas, peu importe, il semblerait que ce lascar ait une bonne queue qui va exciter notre allumeuse de service. Elle a fait le chemin pour se faire tringler et ce n’est surement pas maintenant qu’elle est arrivée à bon port qu’elle va rebrousser chemin. Tant qu’à se faire baiser, autant que ce soit avec la bite qui se retrouve devant elle. Elle sort ses gros atouts de son pull, enlève sa jupe cintrée et se met à gober le manche à couille de l’infirmier ou du docteur. En voilà une grosse seringue pleine de fermeté et de bestialité, elle ne demande qu’à se faire pomper… La belle pique en plein dans le mille, le mec est surexcité et va s’empresser d’aller gouter de ses lèvres cette bonne chatte qui se livre à lui sans détour. Pas de pudeur, pas de gêne, il va donner à cette salope l’orgasme qu’elle est venue chercher. Un bon coup de langue bien baveux dans le trou humide de la belle et très vite l’envie de sauter cette chaudasse l’envahit. Il met le cuni de coté et enfourne sa queue durcit par l’excitation dans la vulve chaude de cette nympho. Elle a les tétons qui pointent, sa chatte s’ouvre comme un rien sous les à coups de la verge et la voilà qui se met à jouir comme une grosse chienne. Elle va se faire prendre dans tous les sens pour son plus grand plaisir, même si d’habitude les relations entre le personnel hospitalier et les patients doit rester seulement professionnel.. Mais vu qu’elle n’est pas une patiente, elle peut se permettre de se faire bourrer par ce membre de l’hôpital, sans oublier la dose de sperme sur le visage. Je comprends pas pourquoi on n’aime pas les hôpitaux, il y règne pourtant une atmosphère torride non?